Blog qui aime le vin! Avec humour, décontraction, et même une pointe de nonchalance. Avec des envies de partage et de découvertes. Du plaisir sans contrainte!
Le dernier vendredi du mois, c'est vendredi du vin.
Même si la terre tremble, même si c'est jour de travail, même si le chat du voisin est coincé en haut d'un arbre.
Même si le bicéphale est en panne d'inspiration...
Comment ne pas adorer le sujet de mister Olif, dieu vivant de la pinartitude, le coude haut levé en signe de résistance pour la ligue du "plaisir partagé autour d'un verre", nouveau (vieux) président des "Vendredis du Vin".
(le plus beau presque profil d'Olif)
Chaque dernier vendredi du mois, un imminent blogueur balance un sujet à la face de la blogosphère vinique.
Et tous les amoureux de la belle bouteille peuvent enchaîner sur leurs expériences personnelles, sur tout médium virtuel ou réseau social dont la page Facebook des VdV.
Ce vendredi, c'est Beaujolais.
Autant dire un peu l'un de mes terrains de jeu préférés.
Mais, voilà, quand on est atteint du syndrome de la page blanche... avec le curseur qui clignote pendant de longues minutes sans qu'aucun mot n'apparaisse... Laissant la place à des sueurs froides et un mal de tête...
Il faut chercher du plaisir simple, avec juste ce qu'il faut de régression infantile.
Et se lover dans ce vin.
Les vins du Beaujolais ont ce pouvoir de plaire immédiatement.
Le gamay, cépage au fruit explosif, peut être source d'apaisement et de tranquilité.
Un objet transitionnel.
Un nounours vinique.
On en boit et tout va mieux.
Alors, aujourd'hui, pour les vendredis du vin consacrés au beaujolais, le bicéphale veut de la légéreté et de la simplicité.
Le bicéphale veut son "petit coin de paradis".
Boire du plaisir et courir tout nu dans les vignes.